«Ya juste les fous qui ne changent pas d’idée!» disait mon père.

Ce à quoi l’enfance nous a exposé, forme des systèmes de croyances qui se solidifient par la répétition. Les mots de ceux qui nous entourent reflètent les croyances qui les habitent. Ces mots, dirigés directement ou indirectement vers nous comme ceux dirigés vers les autres, s’imprègnent en nous et deviennent notre conception de ce qui est bien, correct, acceptable, atteignable, possible. Il y a de ces croyances héritées qui nous limitent, d’autres qui nous propulsent. Parmi celles qui m’ont propulsées…«Ya juste les fous qui ne changent pas d’idée!» Cette croyance m’a permit de saisir que je pouvais changer sans ressentir de la culpabilité. Que je pouvais même être fière de comprendre autrement, différemment. Que changer sa façon de penser était possible et sain. J’y ai tellement cru, que j’en ai fait un métier!!! En écrivant ce texte, je réalise qu’avec ces dix mots authentiques et spontanés, mon père a semé ce qui allait devenir ma mission de vie! Merci à lui!!!!

Oui…les pensées, les croyances qui nous habitent se changent! Comme elles sont la source-même du monde que l’on se construit, il est primordial de s’observer et de savoir que l’on peut y faire quelque chose.

C’est avec un immense plaisir que je vous accompagne dans ce processus!!!

Ema
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